Édition du 29 février 2012
Le journal de Lévis, section Conseil de Ville en bref en page 04
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Dommage que ce petit texte informatif répète que ce qui a guidé dans sa décision le comité de démolition est « le peu de valeur architecturale » du bâtiment dont il est question alors qu’il a erré à ce sujet. Il s’agit probablement du bâtiment le plus ancien de la côte du Passage (1837?), tel que l’a démontré un architecte s’intéressant au patrimoine bâti et préoccupé par les projets de destruction des témoins historiques architecturaux du Vieux-Lévis. La valeur architecturale d’un bâtiment ne repose pas uniquement sur son esthétique, mais sur ses particularités. Or ce bâtiment est particulier à plus d’un égard. Il a certes été mal rénové après l’incendie mais il n’a pas été abîmé irrémédiablement pour autant. Comme bien d’autres, il a été victime d’un mauvais maquillage. Pour ce qui est des coûts « très élevés » d’une « restauration », nous avons questionné la ville sur la différence entre restauration et rénovation et il semble y avoir confusion. Tous les propriétaires de bâtiments ancestraux (dont je suis) font de la « rénovation » et de l’entretien et non pas de la « restauration », une entreprise beaucoup plus complexe et onéreuse, qui n’est pas indispensable dans le cas de cette maison. Les lévisiens ont sous les yeux de très nombreux exemples de maisons anciennes qui ont été rénovées et qui d’apparence très détériorées au départ sont devenues de vrais petits bijoux dont nous sommes tous fiers. Svp, ne répétez pas qu’un jugement superficiel a « guidé » le comité de démolition: objectivement, cette maison n’est pas banale.
Il est trop facile de détruire une maison en quelques mots malheureux et irréfléchis.
Rose-Lise Lamontagne