Tous les deux ans, la Galerie Louise-Carrier met à la disposition des artistes de chez nous les espaces du parc de l’Anglicane pour leur permettre d’exercer leurs talents et d’offrir leurs œuvres au grand public. Cette année près d’une quarantaine d’artistes ont apporté pinceaux, peinture, chevalets et tableaux pour exposer chaque jour sous un soleil des plus radieux. La population était au rendez vous.
L’événement s’est tenu cette année les 18, 19 et 24 juin. Avons nous visité le dernier des Symposiums en ce lieu enchanteur, probablement? En effet, Lévis a accepté dans son dernier plan d’urbanisme (2011) de créer des lots à construire tout le long de la rue Henry sur le vaste terrain champêtre du côté ouest de l’Anglicane et d’y autoriser la construction de bâtiments à 3 étages.
Sommes nous en présence d’une mesure attribuable à :
a) l’ignorance b) l’insouciance c) la nonchalance d) l’indifférence e) l’insensibilité
f) la frivolité g) la stupidité h) la cupidité i) la dilapidation j) la désinvolture
k) l’incurie l) la bêtise ou m) toutes ces réponses
Votre réponse : ( )
Pour détails :
https://cqvl.org/2016/01/29/inquietudes-concernant-le-parc-public-de-langlicane
Ne sachant pas, ça donne envie de penser que toutes ces réponses soient en cause. J’ai bien peur toutefois que la réponse – h), y soit pour beaucoup. Trop dommage de rogner ainsi sur l’espace et la beauté. Leurs contraires sont l’étouffement et la laideur, ce dont le Vieux-Lévis est encore malgré tout préservé.